Communiqué de la GA. Le gouvernement Ayrault fait des risettes au MEDEF.
Pas moins de 10 ministres sont attendus à l'université d'été du Medef qui commence aujourd'hui, 29 août, sur le campus d'HEC à Jouy-en-Josas.
Et c'est le premier d'entre eux, J. M. Ayrault qui va prononcer le discours d'ouverture. Il prolonge ainsi de façon tout à fait officielle la réception récente par F. Hollande d'une brochette de grands patrons du CAC 40.
Parmi eux également, A. Montebourg, ministre du Redressement productif, qui ne cesse de donner des gages au patronat. Après avoir appelé les salariés et les syndicats de PSA à la responsabilité, il s'engage, dans une interview donné aux Echos, à ne pas alourdir la fiscalité des entreprises.
Laurence Parisot, la présidente du Medef, a bien compris que c'était le moment de passer à l'offensive. Elle ne manque aucune occasion de ressortir son éternel refrain libéral. Quand il s'agit d'emploi, elle parle de flexibilité et elle ressasse l'éternel rengaine patronale sur l'augmentation des profits, la baisse des charges sociales et la fiscalité qui pèse sur les pauvres patrons.
Le gouvernement Ayrault tourne le dos aux mesures qu'il faudrait prendre pour que le slogan « le changement c'est maintenant » commence à prendre quelques réalités pour la population.
Alors qu'il y a pas loin de 5 millions de chômeurs, que le chômage a fait un bond de 1,4% en juillet, que les plans sociaux sociaux se multiplient et menacent 90 000 salariéEs, le gouvernement Ayrault fait des risettes au Medef.
Les salariéEs de Fralib à force de mobilisation, de persévérance dans la lutte ont réussi à marquer des points contre Unilever qui voulait fermer l'entreprise de Gémenos, même si aujourd'hui tout n'est pas encore gagné.
Pour la Gauche anticapitaliste, courant politique membre du Front de gauche, c'est l'emploi qu'il faut préserver en interdisant les licenciements en commençant par les entreprises qui font des profits. Cette question est prioritaire. Tout comme l'est la réquisition par les salariéEs de leurs entreprises menacées de fermeture ou de délocalisation, à cause de la voracité des actionnaires. C'est à cela que devraient s'employer F. Hollande, J.M. Ayrault et A. Montebourg
Le 29 août 2012.
Et c'est le premier d'entre eux, J. M. Ayrault qui va prononcer le discours d'ouverture. Il prolonge ainsi de façon tout à fait officielle la réception récente par F. Hollande d'une brochette de grands patrons du CAC 40.
Parmi eux également, A. Montebourg, ministre du Redressement productif, qui ne cesse de donner des gages au patronat. Après avoir appelé les salariés et les syndicats de PSA à la responsabilité, il s'engage, dans une interview donné aux Echos, à ne pas alourdir la fiscalité des entreprises.
Laurence Parisot, la présidente du Medef, a bien compris que c'était le moment de passer à l'offensive. Elle ne manque aucune occasion de ressortir son éternel refrain libéral. Quand il s'agit d'emploi, elle parle de flexibilité et elle ressasse l'éternel rengaine patronale sur l'augmentation des profits, la baisse des charges sociales et la fiscalité qui pèse sur les pauvres patrons.
Le gouvernement Ayrault tourne le dos aux mesures qu'il faudrait prendre pour que le slogan « le changement c'est maintenant » commence à prendre quelques réalités pour la population.
Alors qu'il y a pas loin de 5 millions de chômeurs, que le chômage a fait un bond de 1,4% en juillet, que les plans sociaux sociaux se multiplient et menacent 90 000 salariéEs, le gouvernement Ayrault fait des risettes au Medef.
Les salariéEs de Fralib à force de mobilisation, de persévérance dans la lutte ont réussi à marquer des points contre Unilever qui voulait fermer l'entreprise de Gémenos, même si aujourd'hui tout n'est pas encore gagné.
Pour la Gauche anticapitaliste, courant politique membre du Front de gauche, c'est l'emploi qu'il faut préserver en interdisant les licenciements en commençant par les entreprises qui font des profits. Cette question est prioritaire. Tout comme l'est la réquisition par les salariéEs de leurs entreprises menacées de fermeture ou de délocalisation, à cause de la voracité des actionnaires. C'est à cela que devraient s'employer F. Hollande, J.M. Ayrault et A. Montebourg
Le 29 août 2012.
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